« Si le certificat d’études du premier degré (CEPD) a fait 80,37% d’admis sur le plan national malgré une année très tumultueuse, aucune inspection n’a obtenu un record supérieur à la moyenne nationale », a confié lundi le directeur de cabinet du ministère des enseignements primaires et secondaires, Dr Eyana Amana Kpemissi.

A l’origine de cette situation explique-t-il, la perturbation de l’année académique avec pour corollaire, l’irrégularité de la fonction pédagogique qui permet de mieux encadrer les enseignants et de les évaluer dans l’exercice de leurs missions envers les apprenants.

Le corps d’encadrement composé des inspecteurs des conseillers pédagogiques, n’a donc pas efficacement été au rendez-vous quant au suivi des enseignants sur le terrain.

Une délégation de syndicalistes canadiens de l’enseignement, est en séjour de trois (03 jours à Lomé où ils rencontreront leurs homologues syndicalistes de la fédération syndicale des enseignants de l’éducation nationale (FESEN), pour échanger sur les nouvelles techniques de l’enseignement.

L’objectif est de faire en sorte que l’enseignement soit plus actif et plus agréable à l’apprenant.

Des bons résultats scolaires, dépend la qualité de la fonction pédagogique.