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« Jeudi, j’ose » janvier 2017 : L’agenda comme outil de planification

Le tout premier numéro de  « Jeudi, j’ose », de l’année 2017   a  eu lieu  le jeudi  12 janvier à la Bluezone  Cacavéli à Lomé. « L’agenda, outil de planification personnelle », c’est le thème retenu pour ce rendez-vous mensuel, qui a mobilisé plusieurs  dizaines de  jeunes. Le sujet a été présenté par M. Carlos Lawson, Formateur Consultant à la Jeune Chambre Internationale (JCI).

De sa communication, on retient Trois points essentiels : la définition d’un agenda, les types d’agenda, leurs avantages et inconvénients   et les  éléments de la planification.

Pour l’orateur, un agenda  est un  outil qui permet d’associer des  actions à des  moments  et d’organiser son temps. Il sert à avoir une vue globale  de l’emploi du temps  à l’échelle de la journée, de la semaine, du mois, de l’année. Il facilite la préparation des rendez-vous et aide à éviter les oublis et les retards.

Les priorités incontournables, les tâches urgentes, les priorités secondaires, les tâches moins importantes, les loisirs  etc. constituent  le contenu d’un agenda, à  en croire le communicateur.

Il existe trois types d’agenda, selon M. Carlos Lawson : l’agenda papier, l’agenda numérique et l’agenda en ligne. Chaque type a ses avantages et ses  inconvénients.  Ainsi, l’agenda papier est facile à utiliser ; il ne présente pas de risque de panne de matériel. En revanche, il est difficile voir impossible  de partager son contenu avec les autres ou encore  de le sauvegarder en cas  de perte ou de dégradation. L’agenda numérique offre une facilité de gestion des informations récurrentes et la possibilité de partager avec les autres,  son contenu.  Son utilisateur   est cependant   exposé à un risque de panne de batterie.  Facile d’accès et ne présentant aucun risque quant à la sauvegarde des données, l’agenda en ligne a néanmoins un inconvénient : le manque de confidentialité .

Pour le consultant, l’agenda est un précieux outil de planification. «  On planifie pour  avancer, on planifie pour améliorer », explique-t-il.  Planifier, selon lui, c’est « partir d’un point A pour aller à un point B bien meilleur ».

La planification repose sur un ensemble d’éléments, a fait remarquer le conférencier : l’identification des problèmes et des besoins,  l’établissement des priorités et des urgences auxquelles on assigne des objectifs ;  l’évaluation des objectifs et priorités, la définition des domaines de planification.

« La meilleure façon d’échouer, c’est de réussir à ne rien planifier », a conclu M. Carlos Lawson.

La communication a été suivie de débat, de partage d’expériences et de dégustation de produits locaux fabriqués par de jeunes entrepreneurs financés  par le FAIEJ.

 

 

 

 

 

 

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