Il ya neuf mois, le projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT) a fait l’objet d’une évaluation suivi d’une revue à mi-parcours. Les leçons apprises des différentes rencontres ponctués des échanges très féconds ont permis de faire des recommandations à tous les niveaux. Pour faire le bilan de la mise en œuvre de ces recommandations, pour l’aboutissement heureux de ce projet, les membres de la mission de suivi de la banque mondiale, les coordonnateurs des agences d’appui aux initiatives de base (AGAIB) et bien d’autres acteurs impliqués dans ce projet ont tenu ce mardi 24 novembre un atelier à Lomé.
« Tous les projets de la banque mondiale font systématiquement objet de suivi, c’est dans ce cadre que nous organisons cette rencontre » a indiqué M. Houkpe Koffi, spécialiste en gestion des risques de catastrophes. Selon lui, ce projet est l’un des plus grands financés par la banque mondiale au Togo.
Pour rappel, le PGCIT est né de la nécessité pour le Togo de réduire significativement sa vulnérabilité face aux catastrophes. Le pays n’est pas exposé aux aléas d’origine sismique mais doit gérer plus régulièrement des situations d’urgence et de catastrophe d’origine hydro météorologique.